Bienvenue à nouveau sur Déesses digitales ! Comme ce n'est pas la première fois que tu viens ici, tu voudras sans doute lire mon guide qui t'explique les étapes essentielles pour poser les fondations de ton projet. Alors cliquez ici pour télécharger le guide gratuitement ! 🙂
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Parfois, on croit avoir échoué. On regarde en arrière et on voit des années de combat, de fatigue, de déceptions. On se dit qu’on a tout perdu, qu’on a fait fausse route.
C’est ce que j’ai ressenti.
Quand le burn-out m’a stoppée net, puis que mes projets se sont effondrés, j’ai eu l’impression d’être dans une impasse. Pourtant, sans le savoir, je semais déjà des graines. Invisibles. Silencieuses. Mais bien là.
Aujourd’hui, en regardant mon parcours, je comprends que ces moments d’ombre étaient en réalité le terreau de quelque chose de plus grand.
Quelque chose que je n’aurais jamais osé rêver à l’époque : un projet à moi, libre, aligné, qui aide d’autres femmes à se (re)construire, elles aussi.
Dans cet article, je t’emmène avec moi pour te montrer comment ce que l’on traverse dans le noir peut devenir la lumière de demain. Et pourquoi, toi aussi, tu es peut-être déjà en train de semer sans le savoir.
Ce que j’ai traversé… et que je ne comprenais pas sur le moment
L’épuisement total : quand le corps et le cœur disent stop
Je croyais que j’étais forte. Que je pouvais encaisser encore un peu. Encore un projet, encore une pression, encore une “urgence”. Jusqu’au jour où mon corps a dit non.
Mais ce burn-out n’était pas qu’un effondrement. C’était une rupture… et une invitation à ralentir, à m’écouter, à regarder enfin ce que j’avais ignoré pendant trop longtemps.
À ce moment-là, j’avais l’impression d’avoir tout perdu. Mais en vérité, je venais de planter ma première graine.
Un projet qui s’effondre… et une énergie qui cherche une autre voie
Quand un projet auquel tu as cru s’arrête brutalement, c’est un petit deuil silencieux. Ce n’est pas toujours spectaculaire. Il n’y a pas de cris, pas de clash. Juste… un vide.
Un “et maintenant ?” qui résonne dans le cœur. Et un tas de pourquoi sans réponse.
Ce que j’ai compris après coup, c’est que l’énergie qu’on met dans un projet ne disparaît jamais. Elle circule. Et parfois, elle cherche juste un autre contenant.
La solitude, le silence… mais aussi le début d’un espace intérieur
Il y a eu des jours où je ne parlais à personne. Des journées entières sans retour, sans message, sans validation extérieure.
Et tu sais quoi ? C’est dans ce silence que quelque chose de précieux a commencé à émerger.
J’ai arrêté de chercher des réponses partout. J’ai commencé à écouter ma propre voix.
Petit à petit, des idées sont revenues. Des envies. Des intuitions.
Ce n’était pas encore clair, pas encore structuré. Mais c’était là, comme une lumière timide qu’on n’ose pas encore regarder en face.
Aujourd’hui, avec du recul, je peux le dire : la solitude m’a offert un espace sacré pour renaître. Pas dans le bruit. Pas dans le rush. Mais dans l’intime redécouverte de ce que je voulais vraiment créer pour demain.
C’est exactement ce qui s’est passé pour moi.
J’ai repris ce que j’avais déjà construit en silence. Je me suis reconnectée à ce que j’aimais transmettre. Et en deux mois, seule cette fois, j’ai lancé Déesses Digitales.
Pas par vengeance. Pas pour prouver quoi que ce soit. Juste parce que je ne pouvais plus faire autrement que de suivre ma voie.
📌 Épingle l’image qui te parle le plus pour ne pas oublier que même dans l’ombre, tu es peut-être déjà en train de semer ta renaissance.


Ce que j’ai semé, en toute discrétion
Écrire, même sans lectrice
Je n’avais pas de “public”. Pas d’audience. Pas de like.
Mais j’écrivais quand même. Dans un carnet, dans un document Word, parfois dans un brouillon de blog jamais publié.
Écrire, c’était poser des balises dans le brouillard.
Je mettais des mots sur mes pensées, mes peurs, mes envies. Et même si personne ne lisait, j’avais l’intuition que chaque mot me rapprochait de quelque chose d’important.
Apprendre, même sans plan précis
Je regardais des tutos YouTube. Je lisais des articles. Je testais des outils, des plateformes, des méthodes.
Pas parce que j’avais un business modèle tout prêt. Juste parce que je sentais que ça pouvait m’ouvrir des portes.
À l’époque, j’avais l’impression de m’éparpiller. Mais aujourd’hui, je vois que j’étais en train de constituer ma boîte à outils. Celle que je transmets maintenant à d’autres femmes, pour qu’elles n’aient pas à passer par les mêmes détours.
Imaginer, même sans validation extérieure
Et puis, je rêvais. Je visualisais. Je notais des idées de contenus, de services, de formats…
Pas pour vendre. Pas encore.
Mais parce que ça vibrait. Parce que quelque chose en moi commençait à y croire à nouveau.
Et un jour… la vie a répondu
Une idée de blog : Déesses Digitales
e ne cherche plus à “réussir” comme avant. Aujourd’hui, j’ai juste envie de créer un espace pour partager.
Pas un blog parfait. Pas un tunnel de vente. Juste un lieu vivant, sincère, où je dépose ce que j’ai appris… et ce que j’aurais aimé lire quand j’étais au fond.
C’est ainsi qu’est née Déesses Digitales. Un nom un peu fou, un peu magique… mais qui, pour moi, raconte ce que je veux offrir : de la puissance féminine dans un monde digital souvent froid ou impersonnel.
Un besoin de transmettre : aider d’autres femmes comme moi
Très vite, j’ai compris que ce n’était pas “juste un blog”.
C’est une passerelle. Entre mon vécu et ce que je transmets.
Entre la solitude que j’ai connue… et l’envie de créer un espace bienveillant pour celles qui galèrent avec la technique, le mindset, ou la peur de se lancer.
Une envie profonde : contribuer à quelque chose de plus grand que moi
Ce que je fais aujourd’hui, je le fais pour moi, oui.
Mais aussi pour elles.
Pour celle qui doute. Pour celle qui se dit “je suis trop vieille / trop nulle / trop paumée”.
Pour celle qui n’a pas encore de voix, mais qui a déjà tant à offrir.
Semeuse d’aujourd’hui, bâtisseuse de demain
Je n’ai pas toutes les réponses. Je ne maîtrise pas tout.
Mais je sème. Un article après l’autre. Une idée après l’autre.
Je choisis de faire ma part, avec ce que j’ai, là où je suis.
Et même si je ne vois pas encore tous les fruits, je sens que chaque graine posée contribue à un monde plus doux, plus libre, plus solidaire.
Alors je continue.
Avec foi, avec patience, avec amour.
Parce que je crois que ce que je sème aujourd’hui – même dans l’ombre – peut éclairer le chemin de demain.
Et je réalise :
Ce que j’ai semé dans l’ombre n’est pas seulement en train de fleurir pour moi.
Il devient utile à d’autres. Et c’est là que tout prend sens.
❓ FAQ – Semer aujourd’hui pour récolter demain : ce que tu te demandes peut-être
🔹 Comment savoir si ce que je vis aujourd’hui me servira plus tard ?
Tu ne peux pas le savoir tout de suite. Mais ce que tu vis, même dans le doute ou la douleur, te transforme.
Chaque expérience, chaque émotion, chaque choix devient une graine potentielle.
Fais-toi confiance. Le sens vient souvent après.
🔹 Et si je ne vois aucun résultat ?
C’est normal. Certaines graines mettent du temps à germer. Ce n’est pas parce que tu ne vois rien que rien ne se passe.
Continue à avancer. La constance est une forme de foi.
🔹 Est-ce que tout le monde peut contribuer à un monde meilleur ?
Oui. Et surtout toi. Pas besoin d’être experte, parfaite ou visible.
Tu peux contribuer par ton écoute, ton témoignage, ton projet, ton intention.
Ton histoire peut devenir le déclic de quelqu’un d’autre.
Semer en conscience, même sans certitude
Je ne sais pas exactement où tout cela me mènera.
Mais je sais que je ne suis plus dans l’attente passive.
Je suis dans l’action douce, la création vivante, le partage sincère.
Et toi, que sèmes-tu en ce moment, même sans le voir ?
Quel geste, quelle idée, quelle parole pourrais-tu offrir aujourd’hui… pour contribuer à un demain plus aligné ?
💬 Je t’invite à me laisser un commentaire ou à partager cet article à une femme qui en aurait besoin.
Et si tu veux aller plus loin dans ton parcours digital, tu es la bienvenue sur le blog Déesses Digitales : j’y partage des outils concrets, des conseils accessibles, et beaucoup de bienveillance pour t’aider à avancer à ton rythme.
Participation à la Farandole des Blogs
Cet article participe à la Farandole des Blogs, dont le thème « Semer aujourd’hui pour récolter demain » est proposé par Pierre-Élie du blog S’enrichir avec Pierre-Élie.
3 commentaires
Merci pour ce très beau témoignage Anne ! Il m’a fait penser à l’art du kintsugi :D, cette pratique japonaise qui répare les fêlures avec de l’or et qui m’inspire souvent en peinture comme en art-thérapie. Tu montres avec sensibilité combien les périodes d’ombre peuvent devenir des lignes de force. Parfois il faut « tomber » pour se « relever et devenir encore plus forte » 🙂
On m’a souvent dit aussi que « je m’éparpillais » et je constate aujourd’hui que cela est toute ma richesse et ma singularité. Bravo pour ton parcours et bonne suite dans toutes tes entreprises!
Merci Anne pour cette belle réflexion. Elle me parle beaucoup. Semer avec intention, patience et confiance. Semer chaque jour, même de petites choses, c’est ce qui construit une vie alignée, en cohérence avec qui l’on devient. Je mesure aujourd’hui combien chaque graine posée avec cœur finit par porter ses fruits. Merci pour cette énergie posée, pleine de sens et d’espoir